Réveillé à 6h du matin par une alarme sur le téléphone, qui s'avère être un appel messenger de mes frangins de cousins. Ah, même à l'autre bout du monde, ils parviennent pas à faire sans moi.

Du coup, Nahèl qui ne dormait plus que sur une oreille, "gazouilla" , à nous en faire trembler le camion, jusqu'à ce que nous finissions par nous lever.

C'est de bonne humeur donc qu'on attaquera le petit déjeuner. Le calme d'être au sein d'une structure et pas directement auprès de la foule des badauds qui passe à 1 mètre du camion, nous fait du bien.

Les enfants peuvent aller jouer dans le terrain, nous laissant un peu de repos dans notre promiscuité. De plus, ils peuvent sortir plus facilement les jeux dehors, les partageant, avec plus ou moins de réussite, avec 2 à 3 petites brésiliennes présentent dans le camping.

Celui-ci devrait ce remplir, visiblement il y a un festival ce week end ici. On a pas compris tout à fait la même chose avec Elo, mais quand nous sommes sorties achetés les claquettes de Nahèl, la patronne nous a évoqué le festival et souhaitait savoir quand on partait. Après on a pas la même interprétation de l'espagnol-portugais, pratiqué par la dame pour communiquer avec nous. Demain, nous bougerons probablement car la nuit est tout de même à 70reals. On ne sait pas, si on reste pour voir un peu le festival, ou si on trace un peu de route.

L'après midi se passe donc comme la matinée, à profiter de l'oisiveté et de la fleimardise qui nous tiens depuis ce réveil impromptu.

Petite séance scolaire sous l'impulsion de Léa et "c'est pas sorcier" sur les otaries et les phoques pour commencer à préparer les enfants à la découverte des grands animaux marins, que nous devrions approchés à la péninsule valdès dans quelques semaines. Même si on y est pas encore, d'autant que nous trainons à descendre le Brésil. Mais c'est tellement sympa comme pays. 😜