Levé en bord de rivière avec un beau soleil. Les enfants se sont pris une chasse car ils se sont réveillés tôt et manque de respect en criant de bon matin.

Nous partons pour la ba'qie afin de retirer. Le distributeur est assaillis par une 20ene de personnes. Nous prenons notre mal en patience. Elo et les petits restent dans le camion et je vais faire la queue.

Ensuite, direction le ministère de l'agriculture pour récupérer les certificats et laissés passés des chiens.

Quand je m'arrête de nouveau le voyant de freins. Grrrr. Elo va au ministère et moi je scute le circuit. La fuite est au niveau du maître cylindre de freins arrière. Décidément pas de chance. Je m'en serai rendu compte avant, nous avions tout le temps de le faire faire sur Montevideo. Je refais le plein de liquide et nous décidons de passer la frontière. Le freinage est correct et Buenos Aires est à moins de 300kms par une 2x2 voies.

Le passage en frontière se déroule à nouveau sans encombre. Beaucoup de monde, contrairement à notre passage de juin. Des dizaines et dizaines de camions stationnent sur le bas côté et deux fils continues de voitures se présente à la guérite des douaniers Argentins. La paperasse effectuée, nous pouvons reprendre la route sa's un coup d'œil au camion. Heureusement car nous avons de la viande dans le frigo (interdit), des légumes et fruit frais (interdit), des comprimés medic et les croquettes des chiens et quelques autres trucs qui ne sont pas censés passer la frontière. Cela nous aurait fait chier de jeter ou gâcher.

Petite pause pour le repas à Gualeguachu, première ville Argentine sur le passage. On avait pris nos bouteilles de gaz là-bas, on espérait les échanger ici, mais le magasin est fermé et n'ouvre qu'à 16h. Étant donné qu'il est 13h, nous n'attendons pas. Liquide de freins et huile moteur achetés, nous repartons.

La route Agrnetine s'avale plutôt bien. La route en 2x2 voies ne présente que peu d'intérêt, si ce n'est une voie de chemin de fer désaffecté, qui suit en parallèle la route. Le chemin de fer emprunte des édifices, tels des ponts, imposants fait de bétons et de câbles mais dont l'utilité aura été de courte durée.

Finalement, à l'approche de Buenos Aires, nous tombons sur un garage Iveco. Nous nous y arrêtons.

L'accueil est chaleureux. Un type à l'entrée nous guide jusqu'au réceptionniste. Celui-ci s'appelle Léandro et se montre très hospitalier lorsqu'il nous explique que le mécano ne regardera la panne que demain. Aussi, après avoir fait l'administratif, il nous montre une salle de détente avec 2 canapés, une machine à café gratuite, une salle de bains avec lavabo, WC et douche. Je comprends même que si nous sommes là demain midi, un plateau reaps nous sera proposé "gratuitement" . Plutôt cool.

Nous passons donc la soirée, encore une fois, dans une concession IVECO. 😜